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PHASE FINALE

Théâtre

PARIS 03 75003

Du 27/02/2022 à 17:30 au 27/03/2022 à 17:30

L'amitié c'est un 8eme de finale, ça se joue pas, ça se gagne ! Trois potes d'enfance, passés des crampons à l'écharpe de supporters, se retrouvent pour assister au match retour de la Ligue des Champions entre le PSG et Barcelone, le 8 mars 2017. Le soir de la fameuse “Remontada”. Une soirée somme toute normale à première vue: bière, chips, vannes… Mais un match à la tournure exceptionnelle et un invité « surprise » vont mettre leur amitié à rude épreuve. Peut-on réellement tout dire à ses potes? Avoir un passé commun suffit-il à rester amis ? Distribution: Thomas Le TALLEC, Mathieu Peralma

photo FINALE DU CONCOURS LA MAESTRA

FINALE DU CONCOURS LA MAESTRA

Musique classique

PARIS 19 75019

Le 06/03/2022 à 19:30

LA MAESTRA Finale du 2e concours international ------------------------- Grande salle Pierre Boulez - Philharmonie • Durée : environ 3h10 Programme : Finale Délibération du Jury Cérémonie de remise des prix Distribution: Paris Mozart Orchestra 3 candidates Place à la deuxième session du concours de cheffes d'orchestre La Maestra qui vise à combattre les discriminations pesant encore sur les femmes dans le monde musical. Face au constat que les cheffes d'orchestre sont les grandes absentes du paysage musical français (et européen), Claire Gibault s'est attelée à offrir aux musiciennes qui le souhaitent un espace où exprimer leur talent. Son concours La Maestra, qui envoie un message fort au monde musical, se prolonge ainsi d'une académie de deux ans qui accompagne professionnellement les lauréates. Les épreuves du concours proposent un répertoire qui associe des œuvres phares du XVIIIe au XXe siècle à des créations contemporaines, afin de permettre aux candidates de montrer l'étendue de leur palette. La première édition avait notamment distingué la cheffe indonésienne d'origine chinoise Rebecca Tong. Qui seront les nouvelles cheffes que découvrira l'édition 2022 de La Maestra[...]

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DVORK - BRAHMS

Musique classique

PARIS 19 75019

Le 08/03/2022 à 20:30

DVORÁK / BRAHMS Les Dissonances - David Grimal --------------- Salle des concerts - Cité de la musique Programme: Antonín Dvoøák Vanda Ouverture Concerto pour violon Johannes Brahms Symphonie n° 3 Distribution: Les Dissonances David Grimal , direction Après leur intégrale des symphonies de Brahms donnée entre 2013 et 2015, l'ensemble Les Dissonances, mené par David Grimal, retrouve le compositeur pour la Troisième Symphonie , composée à l'été 1883. En regard, le Concerto pour violon de Dvoøák. On trouve derrière le Concerto pour violon de Dvoøák le même instrumentiste que derrière celui de Brahms, Joseph Joachim – c'est d'ailleurs via le compositeur viennois que Dvoøák avait fait la connaissance du virtuose. Il semble cependant que l'œuvre n'ait pas plu au soliste, qui en était le dédicataire mais ne la joua jamais. Elle jouit aujourd'hui au contraire d'une grande faveur auprès des instrumentistes, des chefs et des mélomanes. Créée la même année, en 1883, la Troisième Symphonie de Brahms, avec sa flamboyance nordique et son atmosphère de ballade, rencontra immédiatement un énorme succès. Elle s'achève sur un finale animé d'un sentiment d'urgence qui se clôt néanmoins[...]

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CAMERATA SALZBURG - HELENE GRIMAUD

Musique classique

PARIS 19 75019

Le 28/03/2022 à 20:30

CAMERATA SALZBURG / HÉLÈNE GRIMAUD Mozart ----------------- Grande salle Pierre Boulez - Philharmonie • Durée : environ 1h40 dont 1 entracte Programme : Schumann Kreisleriana Wolfgang Amadeus Mozart Symphonie n° 40 Concerto pour piano n° 20 Hélène Grimaud et ses amis de la Camerata Salzburg montraient, en 2020 face aux micros de la Deutsche Grammophon, la manière dont le Concerto K 466 de Mozart indique la route à Beethoven. « Divin », Wolfgang ? Pas seulement. Ne vous fiez pas au sourire de Mozart : « il y a des moments d'énergie folle qui sont presque une fuite dans une transe : ce n'est pas seulement de la joie, et ce n'est pas seulement du bonheur », affirme Hélène Grimaud à propos du finale du Concerto n° 19 , écrit pendant l'hiver 1784. Achevé le 10 février suivant pour être créée le lendemain, le Vingtième commence en ré mineur, signature maussade qu'Amadeus privilégie pour exprimer la colère. Au bout du chemin, le mode majeur – donc la lumière – triompheront malgré tout. Il n'en va pas de même pour la Symphonie n° 40 (1788), tourmentée par une tonalité que son auteur associe alors à la mort – celle, sans doute, de la fille qu'il vient de perdre. Dans[...]